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Liste des poèmes

mon bonheur fait par ahrsay167 le 18/05/2013
Je voudrais te dire comment tu es si belle Hélas je ne le pourrais pas Tu es comme une fleure qui fleuri à l’aurore dans une journée de printemps Tu es celle qui me fait rire dans les journées de malheur celle à qui je ponce sans arrêt Tu es ma raison de vivre sont toi je ne suis rien sans ton regard qui m’ébloui je suis telle un cadavre sans aucune raison Tu es l’âme qui me fait renaitre dans les moments de peur et de tristesse tu es la lumière qui m’éclair dans mon longs chemins.
Ma best fait par pichi le 19/01/2014
Tu et la. Peu être pas devant moi. Mais sache que dans mon cœur. Tu a ta place. Et jamais elle ne partiras. Dans la dispute comme dans la sagesse. Ta place et réserver. Et oui dans mon cœur tu est !! ~ Assya ~
La langueur fait par Alex le 22/05/2016
La Langueur ( Partie III : Éther et cieux ) "Ô Sainte Cité du haut de ta pierre majestueuse, J'entends ton clocher murmurer tout bas sa fierté, En contemplant, anesthésié, flâneurs et flâneuses, Qui longent la lisière de tes rues de désertion frappées ! Le Temps s'est sauvée dans le dédale de tes ruelles ensablées, Les cieux alanguis ont retrouvé leur jouvence perdue, Et ces rires traversent les pavés tels un millier de pieds, Dans l’œil des amants sont logés le reflet des nues. Le fleuve cristallin et opalescent accueille notre fugitif retrait, Nous nous égarons, donnant notre peau au soleil chargé de rais, Mon regard idolâtre éclate et éclate devant ton sourire de lumière ! Ton visage a la teinte du soleil et la noblesse des bergères. Ta prunelle plongée dans la mienne fait écho à la clarté solaire, Comme le rougeoiement du feu sur les murs d'un monastère, Son âtre incandescent m'embrase, mû par cet Amour véhément, Et m'envahit d'un flot vibratoire, d'un indicible sentiment ! Altière et auguste statue d'airain, tu fais courber cette ville ! Ta force de cœur bouscule jusqu'aux frémissantes ramilles ! Ta désinvolture fait danser les muguets qui étoilent les clairières, Du charme tu es la fille et de mon alacrité tu es la mère. Quand se volatilise la clarté du jour, c'est toi qui lui succède, Du haut de ta forteresse éburnée, tu revêt l'orgueil d'un aède, Chaque jour, tu t'éveilles dans un silence cotonneux et rêveur, Ô jeune fille ! Tu me louanges, tu fais jaillir tes chaudes fleurs ! Mutique, je me laisse cueillir par cette floraison de gracieusetés, Ma dureté fléchit, se confiant aux mains de ta bienveillance, Plongeant dans le bain de tes attraits et de ta tendre vénusté, Mes affres ne sont plus que, dans le temps, volatile évanescence" ' Voyage entre Cieux et Enfers ' ; tous droits réservés.
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